Mariage Buffet - Vernus


Studio DAVID KYRSZAK
53 rue Nationale
69400 Villefranche sur Saône
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Aux Caisses d'épargne, la vedette du moment s'appelle Organdi... Dans la plupart des banques, chez les courtiers d'assurance ou dans les bureaux des conseillers en gestion de patrimoine, se bousculent ces placements aux noms mystérieux.
Officiellement, pour l'AMF (Autorité des marchés financiers), il s'agit de «fonds à formule». Ils promettent aux épargnants, deux à dix ans après la souscription, une rémunération calculée selon une formule mathématique, différente pour chacun d'eux, mais presque toujours liée à l'évolution des marchés boursiers.
Certains se targuent par exemple d'offrir, dans dix ans, 70% de la performance maximale d'un panier d'actions présélectionnées par le gérant. D'autres donneront, dans 5 ans, 60% de la plus forte des progressions d'un panier de cinq indices mondiaux, etc.
Leur point commun ? Ils sont assortis d'une garantie en capital, presque toujours totale. A l'échéance, le souscripteur est donc certain de récupérer au moins sa mise. On trouve certes encore ici ou là des fonds seulement protégés partiellement, qui exposent l'investisseur à une moins-value dans certaines circonstances. Mais ils se font rares. Car les déboires de La Poste avec un fonds de ce genre, le célèbre Bénéfic, dissuadent beaucoup de banques de s'engager dans cette voie : l'établissement public affronte aujourd'hui les procès intentés par des clients mécontents, qui pensaient avoir souscrit un placement sans risque et ont en réalité essuyé une perte sèche.